Elle évolue constamment avec son œuvre dans une démarche qui répond à une recherche expressive permanente. Par exemple, dans la longue parenthèse qu'il fait sur le mot « bilous » (p. Il ne justifie pas ses choix de langue pour un lecteur français qui pourrait être choqué de l'adaptation personnelle et identitaire qu'il applique à la langue. De plus, le langage qu'il utilise n'est pas très éloigné du leur puisqu'il utilise lui aussi un lexique et des expressions québécoises. 103), il ne prend pas la peine d'expliquer le sens de l'expression « passer la vadrouille » quelques lignes plus bas.