Poufiasse obèse enculée en levrette

Car c’était cela : j’avais faim de lui. Comme je ne pouvais pas le faire, c’était son anus qui contentait ma faim. Et c’est comme ça que Douimé rentra chez lui, pendant que femme nettoya les traces de leurs ébats, tant sur les draps que sur et dans son corps. Sauf dans la partie libertine de celle-ci, que vous appellerez « Baie des Cochons ». J’avais envie, en léchant ce cul, de lui sucer la bite. Comme une vulgaire salope, je me touchais les tétons, effleurais ma bite qui à présent ne m’intéressait plus. À l’intérieur, un revêtement fournit des sensations plus ou moins prononcées en fonction de la texture de l’objet et de la pression apportée.