« On peut se masturber à l’occasion, si c’est détaché du porno sur internet. Le résultat, à l’heure du porno en haut débit, ce serait des heures passées devant son ordi, la main sous le bureau, à la recherche de sa « dose » de nouveauté. Elle n’a pas froid aux yeux et ne recule jamais devant une énorme bite. Ni la baguette d’Harry Potter, ni une piqûre d’araignée radioactive n’étant à l’œuvre, beaucoup vont chercher des explications dans la science. James Wilton est le coordonnateur du projet de prévention du VIH par la science biomédicale pour CATIE et termine actuellement sa maîtrise en santé publique, avec une spécialisation en épidémiologie, à l’Université de Toronto.
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