La fellation pouvant être appréhendée du point de vue d’un danger potentiel - elle aplanit les différences essentielles entre homosexualité et hétérosexualité - reste une question sans réponse à ce jour. Peut-être fallait-il la fellation au lieu du cunnilinctus pour parvenir à la jouissance oculaire du spectateur sur ce point précis. ». Ne serait-ce que chez Houellebecq, la fellation est là pour elle-même, non pour inviter à une plus grande exploration. Elle est l’exploration. Selon Evrard : « la plus étonnante fellation est celle de Blow job (1964) d’Andy Warhol. Hors-champ, elle est suggérée par le gros plan presque neutre et indifférent (une demi-heure) sur le visage d’un homme en train d’être sucé. D’une manière ou d’une autre, la tension ne se réalise pas avec une multitude de plans successifs sous différents angles.
Jeune et jolie rouquine s'embroche sur une grosse bite noire
Rouquine bien gaulée qui se fait géreusement défoncer pour son plus grand plaisir